“ Généalogies ♠ Dauphiné ♠ Vivre-jadis ♠ PARENTÈLE ♠ Panorama ”
♠ Arbre généalogique
♠ Parentèle mariage
♠ Contrat de mariage
♠ Testament Trillat
♠ Mariage Huguet-Girerd
♠ BMS Saint-Didier d'Aoste
♠ Données généalogiques
♠ Listes éclair parenté
Un tissage généalogique serré se crée dans notre Bas-Dauphiné au confluent du Guiers et du Rhône. La généalogie descendante des Huguet issus du Bugnon de Chimilin, des Trillat de Meudenin se ramifie vers tous les continents. Les Serraz-Boquais et les Ravier-Piquet migrent vers les grandes villes où, petit à petit, les cousins se perdent de vue. C'est le privilège de la généalogie descendante de les relier à titre posthume.
Les généalogistes ont l'habitude de faire parler leurs données généalogiques au moyen de statistiques ou de croisements simples, utiles aux recherches. Les patronymes étudiés, répartis par commune, cernent l'assise d'une généalogie. Les patronymes ou les communes les plus représentées décrivent chacun l'équilibre entre généalogie ascendante et descendante d'une même recherche de parentèle.
Voici le spectre de répartition des paroisses et communes où les gens de notre parentèle ancienne et moderne sont nés, se sont mariés, sont décédés ou encore ont été inhumés. Nous n'avons pas décanté le passage de la paroisse à la commune. De ce fait, seul le nom est un fil rouge. Les villages de la commune de nos plus proches aïeux ne sont pas forcément les villages de la paroisse de nos plus anciens ancêtres et collatéraux.
Isère, vous avez dit Isère. La présence de Lyon s'explique par le considérable travail de généalogie descendante effectué sur nos Huguet (anciens Huguet Bœuf Blanc), et sur les Trillat pour lesquels nous avons largement tracé la route aux autres généalogistes de cette partie du nord Isère, en limite des Terres Froides.
Quant à Culoz dans l'Ain, sa présence dans le Top-16 provient d'une particularité. Quand notre parentèle ascendante y pénètre avec Marie Reyssat, les pères et mères, grands-pères et arrières, les frères et sœurs, aucun ascendant de Marie Reyssat ne s'écarte plus de cette paroisse. Ce qui donne à Culoz ce poids un peu forcé.
Mariages, paroisses et communes. Le spectre de répartition des paroisses et communes où ceux de notre parentèle ancienne et moderne se sont mariés reflète la répartition de population de ces aïeux. De même que ci-dessus, les villages de la commune de nos plus proches aïeux ne sont pas forcément les villages de la paroisse de nos plus anciens ancêtres et cousins.
Ici, nous nous sommes cantonnés à l'Isère. Nos Huguet (anciens Huguet Bœuf Blanc), et nos Trillat (anciens Trilliat-Gaz) expliquent les poids d'Aoste et de Chimilin. Pour ce même Aoste, notre important travail sur les BMS et les NMD nous permet de faire parler ces actes de l'état civil d'Aoste
au travers d'une analyse approfondie.L'intérêt de mettre en image ces mariages de nos ancêtres et cousins est multiple Par exemple, le tout proche Granieu n'est classé que quinzième. On voit à quel point nos ancêtres demeuraient fixés à leur village, par exemple Bugnon, Leyssin ou Meudenin. Lequel village dépendait bien sûr d'une seule paroisse. Quand bien même les études sur Domrémy au 15ème siècle ont montré que Jeanne d'Arc (Darc, Tarc) a pu être de l'une de deux paroisses et d'un duché ou d'un royaume. Les cas limitrophes ont toujours existé, mais ils sont minoritaires.
Au-delà des listes-éclair, quelques remarques sur les us et les prénoms, provenant des écrits du curé de la Clusaz. Après 1814, les départements de Savoie retrouvent leur ancien statut. Ils ne redeviendront français qu'après le référendum de 1860. En 1816, l'officier d'état civil de la Clusaz est donc à nouveau le curé.
Dans son “État des âmes”, il nous fait part du cauchemar des généalogistes, qui est aussi un gros problème légal et patrimonial. Écoutons les doléances de ce curé. “Une mauvaise coutume de l'endroit c'est de donner deux et trois noms à presque tous les enfants, et ne les nommer que d'un seul. De là, j'ai trouvé bien des familles dont les pères et mères ne savent pas tous les noms de leurs enfants et même leur en donnent qu'ils n'ont pas, ce qui vient non seulement de la mauvaise coutume de donner tant de noms et de n'en donner qu'un, mais d'une plus mauvaise encore qui est que les noms des enfants ne sont point du choix des pères et mères…” à suivre sur la page prénoms…
La mode est partout, dans le vêtement, les noms, les prénoms. Les désinences finales des noms évoluent au fil des modes. Cette partie de l'Isère est proche de la Savoie. Un temps, la mode savoyarde du “AZ” et du “OZ” (les Guigoz). Le temps passant, on revient au “ET”, voire au “E muet” (Guiguet, Guigue). Les patronymes sont fréquemment des doubles patronymes ; dans le Duché de Savoie c'est la norme.
Quand un patronyme fondateur devenait trop nombreux dans le village, il fallait bien distinguer ses différentes branches. On lui accolait un complément, basé sur l'un des autres patronymes dominants de la branche. Les surnoms s'en mêlaient. Nés individuels, ils pouvaient rester accolés au patronyme initial pour toujours. Les surnoms militaires sont les plus pérennes, les Sans-souci, Sans-regret, Dauphiné, Belle-humeur, etc. Les Ravier-Piquet, Nemoz-Bertholet, Nemoz-Dodillon, Girerd-Bolland, Serraz-Boquais sont des bi-patronymes. Les Blanc l'Aiguille, Huguet Bœuf Blanc sont des combinaisons de patronyme et de surnom.
Ce lien ci-après vous conduit vers les patronymes de quelques-uns de nos quartiers d'ascendance.
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Généalogie en Isère et pays du Guiers
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